L’essentiel à retenir : Le GNSS, bien plus qu’un simple GPS, combine plusieurs constellations satellites pour une précision centimétrique via le RTK. Cela élimine les chevauchements, économise carburant et intrants, avec une précision de 1 à 2 cm. Découvre le kit RTK eSurvey Découvrir le kit RTK eSurvey
Quand tu lances ton guidage sur le tracteur, tu penses à ton “GPS”, mais savais-tu que ce terme cache une réalité bien plus vaste ? La différence entre GNSS et RTK détermine tout : éviter les chevauchements en pulvérisation, économiser des litres d’engrais par hectare, ou gagner du temps en binage. La précision centimétrique, accessible via le réseau Centipede et nos kits eSurvey, élimine les gaspillages et redonne du confort. Fini les abonnements coûteux : avec le guidage RTK agricole, tu travailles au cm près sans frais supplémentaire, même sur des parcelles complexes ou en conditions difficiles. Une révolution pour ta rentabilité.
- GPS ou GNSS : pourquoi on se trompe (et ce que ça change pour toi)
- Le GNSS : plus qu’un simple GPS, une équipe de choc mondiale
- Pourquoi la précision de base ne suffit plus dans nos champs
- Les solutions pour passer au niveau supérieur : DGPS et RTK
- Le RTK, comment ça marche concrètement ? (c’est plus simple que tu ne le penses)
- Le RTK sans abonnement : la précision centimétrique enfin accessible
- Ce qu’il faut retenir : de l’imprécision du GPS à la révolution RTK
GPS ou GNSS : pourquoi on se trompe (et ce que ça change pour toi)
Quand tu actives le guidage sur ton tracteur, tu dis « GPS », hein ? Comme on dit « Kleenex » pour un mouchoir. Le GNSS (GPS, GLONASS, Galileo, BeiDou) est bien plus vaste. Plus de signaux captés = meilleure précision, même en conditions difficiles.
Pourquoi le GPS seul suffit pas ?
Le GPS seul donne des erreurs de 10 mètres si le signal est bloqué. Le RTK corrige ces écarts en temps réel, avec 1 à 2 cm de précision, sans abonnement.
RTK et Centipede : pourquoi ça change la vie
Le réseau Centipede envoie des corrections via internet. Avec les kits eSurvey de RTK Précision, pas de licence annuelle, juste des gains concrets.
Concret pour ton exploitation
En GNSS seul, 10 m d’erreur. En RTK, tu passes à 1-2 cm. Kits eSurvey : installation 2h max. Simple et efficace.
Le GNSS : plus qu’un simple GPS, une équipe de choc mondiale
Beaucoup confondent « GPS » et « GNSS ». Le GNSS est le terme technique regroupant tous les systèmes de positionnement par satellite. Contrairement au GPS (système américain), le GNSS inclut aussi GLONASS (Russie), Galileo (Europe) et Beidou (Chine). En agriculture, plus de satellites égalent plus de précision et de fiabilité.
- GPS (États-Unis) : 31 satellites, précision de 3,5 à 7,8 mètres.
- GLONASS (Russie) : 24 satellites, idéal pour zones difficiles.
- Galileo (Europe) : 30 satellites, compatible avec le GPS.
- Beidou (Chine) : 35 satellites, performant en Asie-Pacifique.
Les récepteurs comme ceux d’eSurvey RTK Précision utilisent ces constellations. Résultat ? Accès à 20 à 30 satellites au lieu de 4 à 8 avec un GPS seul, assurant une localisation fiable même dans des conditions difficiles.
Pour une position 3D, il faut 4 satellites (3 pour la localisation, 1 pour la synchronisation). Avec le GNSS, cette règle est toujours respectée. Pour un agriculteur, cela signifie précision, moins de reprises et économies. Avec Centipede, la précision centimétrique est accessible sans abonnement.

Pourquoi la précision de base ne suffit plus dans nos champs
La précision naturelle du GNSS
Quand on parle de GNSS tout court — GPS, Glonass, Galileo ou Beidou — la précision tourne autour de 5 à 10 mètres. C’est suffisant pour un trajet en voiture, mais dans un champ, un écart de 5 mètres peut provoquer des chevauchements ou des zones non traitées. Résultat ? Gaspillage d’engrais, de semences et de carburant.
Les causes des erreurs
Plusieurs éléments perturbent le signal. D’abord, l’ionosphère, cette couche de l’atmosphère qui ralentit les signaux. Le jour, le retard peut atteindre 15 mètres. Sans correction, ton GPS pense que ton tracteur est ailleurs. Ensuite, bâtiments, arbres ou silos créent des “multipath” : le signal rebondit et arrive déformé. Résultat : ton système affiche un point éloigné de ta position réelle.
Les conséquences en agriculture
Sur le terrain, cette imprécision se traduit par des chevauchements entre deux passages, des zones non traitées, ou des passages de roues mal alignés. Un agriculteur m’a expliqué : “Avec 5 mètres de dérive, mon pulvérisateur recouvrait deux fois la même zone. C’est de l’insecticide jeté à l’eau.”
“Avec une précision de 5 mètres, tu risques de passer deux fois au même endroit ou de laisser des bandes non traitées. C’est du gaspillage d’intrants, de carburant et de temps.”
Pour éviter ces erreurs, les systèmes de correction comme le RTK entrent en jeu.

Les solutions pour passer au niveau supérieur : DGPS et RTK
Le GNSS seul suffit pour un itinéraire routier, mais l’agriculture exige une précision millimétrique grâce à la correction des erreurs via DGPS et RTK.
Le DGPS, une première amélioration
Le DGPS (Differential GPS) affine la précision du GNSS via des satellites géostationnaires (ex: EGNOS en Europe). Offre une précision de 5 à 30 cm, idéal pour l’épandage d’engrais ou le travail du sol, mais insuffisant pour les tâches à grande rigueur comme le semis.
Le RTK, la précision absolue
Le RTK (Real Time Kinematic) offre une précision de 1-2 cm grâce à un système de correction en temps réel. Une base fixe sur un point connu compare les signaux satellites et transmet des ajustements au tracteur. Adapté au semis, binage ou pulvérisation précise. Avec le réseau gratuit Centipede, les kits eSurvey en bénéficient sans abonnement.
Tableau comparatif
| Technologie | Precision | Comment ça marche | Idéal pour… |
|---|---|---|---|
| GNSS (GPS, Galileo…) | ~ 5-10 mètres | Signal brut des satellites | Navigation routière, localisation simple |
| DGPS | ~ 5-30 cm | Correction via satellite (ex: EGNOS) | Épandage d’engrais, travail du sol |
| RTK | ~ 1-2 cm | Correction temps réel depuis une base au sol | Semis, binage, pulvérisation de précision, strip-till |

Le RTK, comment ça marche concrètement ? (c’est plus simple que tu ne le penses)
Avant, le RTK demandait d’installer soi-même une base mobile dans le champ. Fini cette galère : aujourd’hui, des réseaux de bases fixes, connectées à Internet, font le boulot à ta place. Tu évites les allers-retours en tracteur et les installations lourdes.
Le principe ? Deux éléments clés : la base et le rover. La base RTK est une antenne fixe dont la position est connue au millimètre près. Elle reçoit les signaux satellites avec leurs erreurs. Le rover, c’est toi sur ton tracteur. Ton antenne capte les mêmes signaux, avec les mêmes écarts. Puisque la base et le rover sont proches géographiquement, les erreurs (comme celles de l’ionosphère) sont similaires. Cela permet une correction ultra-précise.
La base compare la position qu’elle reçoit des satellites avec sa position réelle connue. L’écart entre les deux, c’est l’erreur. Elle envoie alors cette correction instantanément à ton tracteur.
Ce dialogue se fait via Internet grâce au protocole NTRIP, compatible 4G. Nos kits incluent une carte SIM pour ça. Tu n’as rien à configurer : c’est intégré dès le départ.
Et le réseau correction Centipede dans tout ça ? C’est une communauté d’agriculteurs et d’experts qui partagent gratuitement des corrections RTK. Des bases fixes, souvent sur des bâtiments agricoles, envoient des signaux accessibles à tous. Résultat : un RTK sans abonnement, simple à utiliser et économique.
En pratique, tu t’installes en quelques heures, avec des kits prêts à l’emploi. Avec eSurvey, tu bénéficies d’un guidage fluide, précis à 1-2 cm, sans frais supplémentaire. Les kits incluent bague de volant, support de tablette et vidéos d’installation. Tu peux même déplacer le matériel sur un autre tracteur.
Le RTK sans abonnement : la précision centimétrique enfin accessible
Autrefois réservé aux grandes exploitations, le guidage RTK a longtemps freiné les agriculteurs par ses coûts récurrents. Aujourd’hui, cette technologie est accessible à tous grâce à des réseaux comme Centipede. Plus besoin de payer des abonnements annuels ou des frais de licence : les corrections RTK sont gratuites et disponibles partout où le réseau couvre. Soutenu par l’INRAE et en collaboration avec le réseau RENAG pour la pérennité des données, Centipede s’étend grâce à des acteurs publics et privés pour une couverture croissante en France métropolitaine.
Les avantages du RTK sans abonnement sont concrets :
- Pas de frais cachés : un seul investissement à 4 299€ pour un outil définitif, contre plusieurs centaines d’euros d’abonnements annuels ailleurs.
- Autonomie totale : aucun verrouillage logiciel ou matériel, avec la possibilité de basculer entre tracteurs en quelques secondes.
- Précision constante : 1 à 2 cm pour semer, épandre ou labourer sans gaspillage, évitant les chevauchements inutiles qui coûtent jusqu’à 100€/ha en engrais.
Découvre les économies et la liberté du RTK sans abonnement pour ta ferme.
Les kits eSurvey RTK Précision exploitent pleinement ce modèle. Conçus pour fonctionner avec le réseau Centipede, ils offrent une précision centimétrique sans dépendre d’un opérateur unique. Compatible avec tous les tracteurs (John Deere, Claas, Massey Ferguson, etc.), chaque kit inclut bague de volant, support de tablette et tutoriels d’installation. Tu gagnes 2 heures pour monter le système toi-même, sans intervention extérieure. Leur récepteur supporte GPS, GLONASS, Galileo et Beidou pour une stabilité accrue même sous couvert végétal.
En tant que partenaire de eSurvey GPS, nous sélectionnons des antennes fiabilisées pour leur robustesse en conditions agricoles. Plus besoin de racheter un système pour chaque machine : un seul récepteur voyage d’un tracteur à l’autre.
Ce qu’il faut retenir : de l’imprécision du GPS à la révolution RTK
La précision des systèmes de positionnement varie selon la technologie. Voici les différences clés :
- GPS / GNSS seul : 10 mètres d’imprécision. Inutilisable en agriculture précise.
- DGPS : 5 à 30 cm de précision. Suffisant pour certains usages comme le déchaumage.
- RTK : 1 à 2 cm. La référence pour l’agriculture de précision, idéale pour semer, épandre ou moissonner sans chevauchement.
Le terme « GPS » désigne en réalité l’ensemble des systèmes GNSS (GPS, Glonass, Galileo, Beidou). Mais la véritable avancée pour les champs est le RTK. En corrigeant les erreurs en temps réel, il permet un guidage millimétrique, des économies de carburant et une réduction de 10 à 15 % des produits phytosanitaires.
Avec les kits eSurvey et le réseau Centipede gratuit, le RTK est désormais accessible à tous. Pas d’abonnement, pas de licence annuelle : des solutions prêtes à l’emploi, livrées avec bague de volant, support de tablette et vidéos d’installation pour une prise en main immédiate.
Prêt à optimiser tes rendements et à travailler plus confortablement ? Découvre nos kits centimétriques abordables.
La différence entre GPS et GNSS est une question de vocabulaire. Le RTK est la clé. Le RTK sans abonnement de RTK Précision assure une précision de 1 à 2 cm sans frais cachés. Nos kits eSurvey compatibles avec tous vos tracteurs. Prêt à passer à la précision centimétrique ? Découvrez le kit RTK eSurvey.
FAQ
Pourquoi parle-t-on de “GPS” alors qu’il s’agit souvent de multi-GNSS ?
Par abus de langage, on appelle souvent “GPS” n’importe quel système de positionnement, mais c’est comme dire “frigidaire” pour un réfrigérateur de marque X. Le GPS (Global Positioning System) n’est que l’un des systèmes GNSS (Global Navigation Satellite System), qui en comprend d’autres comme GLONASS (Russe), Galileo (Européen) ou Beidou (Chinois). En agriculture, utiliser du multi-GNSS (tous ces systèmes en même temps) donne accès à plus de satellites, donc à une position plus stable et précise, surtout dans les parcelles avec des obstacles (haies, bâtiments).
Qu’est-ce que le GNSS et pourquoi c’est important pour mon travail ?
Le GNSS désigne l’ensemble des systèmes de satellites de géolocalisation. Concrètement, c’est comme une équipe mondiale : le GPS américain, le GLONASS russe, le Galileo européen et le Beidou chinois. Plus ton récepteur peut capter de satellites, plus le calcul de ta position est fiable. Nos kits eSurvey, par exemple, capte 4 constellations en même temps. Résultat ? Même en conditions difficiles (sous des arbres, près de bâtiments), tu gardes une précision suffisante pour ne pas perdre de vue ton travail.
Quel est le système GPS le plus précis pour l’agriculture ?
Le GPS seul (sans correction) n’est pas assez précis pour l’agriculture : il donne une position à 5-10 mètres près. Ce qui change tout, c’est le RTK (Real-Time Kinematic), qui corrige en temps réel les erreurs du signal. Avec un système RTK comme les nôtres, tu passes à 1-2 cm de précision. C’est cette correction qui fait la différence, pas le système GPS en soi. Et avec le réseau Centipede, tu l’as gratuitement, sans abonnement.
Quels sont les différents types de GPS utilisés en agriculture ?
En agriculture, on distingue 3 niveaux de précision : – Le GNSS seul : précision ~10 mètres (bon pour une navigation routière, pas dans les champs). – Le DGPS : correction par satellite géostationnaire (ex. EGNOS), précision 5-30 cm (utile pour l’épandage de fumier). – Le RTK : correction par base terrestre, précision 1-2 cm (idéal pour semer, biner ou pulvériser précisément). Nos kits eSurvey utilisent le RTK, la solution la plus précise, accessible gratuitement via Centipede, sans frais supplémentaire.
Quelle est la vraie différence entre GNSS et GPS ?
Le GPS est un sous-ensemble du GNSS, comme un modèle de tracteur est un sous-ensemble des tracteurs en général. Le GNSS englobe toutes les constellations mondiales (GPS, Glonass, Galileo, Beidou). En pratique, un récepteur GPS seul capte que les satellites américains, tandis qu’un GNSS multi-capable capte toutes les constellations. Cela améliore ta précision et ta stabilité de signal, surtout dans des conditions complexes (vallonnée, parcelle boisée). Pour l’agriculture, le multi-GNSS est indispensable.
Quel est le système de géolocalisation le plus utilisé au monde ?
Le GPS (américain) est le plus ancien et le plus répandu, mais il est progressivement rejoint par le Galileo européen et le Beidou chinois. Les récepteurs modernes comme ceux d’eSurvey utilisent tous ces systèmes en parallèle. C’est un peu comme avoir plusieurs cartes GPS en même temps : tu as plus de points de repère, donc moins de risques de perdre ta précision. Pratique quand tu travailles près d’un verger ou d’un talus.
Comment fonctionne un système GNSS en pratique ?
Un récepteur GNSS calcule sa position en captant des signaux de 4 satellites minimum : 3 pour trianguler (x, y, z) et 1 pour synchroniser les horloges atomiques des satellites. Plus tu en captes (jusqu’à 30 en multi-GNSS), plus le calcul est fiable. Mais attention : les signaux peuvent être perturbés par l’ionosphère, les bâtiments ou les arbres. C’est là que la correction RTK entre en jeu pour éliminer ces erreurs. Sans ça, tu risques de décaler de plusieurs mètres, ce qui coûte cher en intrants et en gaspillage.
Quel est le prix d’un récepteur GNSS pour l’agriculture ?
Les systèmes GNSS “standards” (sans correction) sont parfois intégrés aux tracteurs, mais leur précision (10 mètres) est inutile pour semer ou épandre. Pour du travail sérieux, le RTK est indispensable. Chez RTK Précision, nos kits eSurvey (récepteur, antenne, carte 4G) sont à 4299€, sans abonnement ni licence. C’est moins cher qu’un système constructeur, et tu peux l’installer sur tous tes tracteurs. Le réseau Centipede, qui diffuse les corrections gratuitement, est déjà couvrant à 90% en France. Pas besoin d’abonnement supplémentaire.
Quelles fréquences utilise un récepteur GNSS pour capter les satellites ?
Les récepteurs GNSS agricoles modernes, comme ceux d’eSurvey, captent au minimum les fréquences L1 des satellites (1575,42 MHz pour le GPS, 1602 MHz pour le GLONASS). Les modèles les plus avancés ajoutent la L2 (1227,60 MHz), ce qui permet de corriger les erreurs ionosphériques. En pratique, cela te permet de garder une précision centimétrique même en conditions météo difficiles. Et avec la correction Centipede, ces fréquences sont exploitées à fond, sans interférences radio ou câbles à traîner.




